Bienvenue dans la capitale du Chili, Santiago. Avec ses cinq millions d’habitants, encerclée par la cordillère des Andes, la ville est proche des stations de ski, de la mer et des vignobles. Il y a peu de temps entre Valparaiso et la capitale Santiago, à peu près 2h de bus avec les bouchons à l’entrée de la ville. On arrive donc sur les coups de 13h, on rejoint Gerson, un brésilien qui nous a accueilli pendant 3 nuits chez lui gratuitement (cela s’appelle du couchsurfing, site d’entraide entre personnes qui voyagent). Il nous fait une petite visite succincte des lieux, les incontournables de l’hypercentre de Santiago, la visite gratuite dans le palais présidentiel « la Moneda » et un bon restaurant à 17h (on commence à être vraiment décalé pour les repas). Nous avons goûté un des plats typiques de la ville : le pastel de choclo (viande de poulet, bœuf, œuf et oignon avec au-dessus de la pâte de maïs moulu). En fin de soirée, on part visiter le musée des Beaux-Arts et se poser écouter de la musique dans le parc Forestal en face. L’hôte est vraiment très agréable, pour notre première expérience dans ce domaine c’est parfait (en plus son appartement tout neuf est en plein centre de la ville). Une australienne du nom de Dani, très gentille, est aussi hébergée avec nous. L’appartement est alors cosmopolite, on parle anglais, français, portugais et espagnol… Vraiment chouette comme expérience. Une belle visite ponctuée par des pauses gastronomiques où l’on a gouté un beignet de courge (pas trop de goût) et la fameuse boisson « Le Terremoto » (vin blanc, grenadine et glace d’ananas). Très frais et vraiment pas mal même si cela peut vite faire tourner la tête. En soirée, nous nous baladons sur la Plaza de armas (place centrale) et avec surprise, en dessous d’un grand kiosque, des dizaines de personnes viennent danser au rythme d’une salsa, d’une bachata ou d’un merengue endiablé. Ici, la danse c’est un autre monde. Petit, gros, svelte… tout le monde sait parfaitement danser, c’est vraiment beau à voir. On est resté longtemps à contempler les danseurs et Julie s’est promis qu’au retour du voyage, elle allait prendre des cours… Affaire à suivre. Ensuite, nous allons à une exposition retraçant la vie de Picasso (avec des œuvres de l’artiste venant principalement de Paris). Le marché artisanal étant à deux pas, nous y achetons quelques souvenirs du Chili. Puis encore un petit tour sur la plaza de armas pour entendre des groupes chanter, rester à ne rien faire comme un lézard au soleil en regardant les papys jouer aux échecs… Vraiment la belle vie. |
Auteurs
Écrit tour à tour par Julie et Thomas selon les humeurs et envies du moment... Archives
Octobre 2017
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